Le bassin dans la nuit
...... Juste avant de franchir la sortie, il jeta presque à mes pieds son cigare alors que je venais de bondir hors de l’eau. J’étais folle de rage. Enfilant mon kimono je sortis pieds nus dans la neige leur demandant de s’excuser. L’homme, se retourna en riant. Il me toisa avec un air si supérieur que j’eus envie de le gifler. En dépit de la colère que j’avais je ne pouvais m’empêcher de le trouver instantanément séduisant. Il n’avait pas plus de cinquante ans. Il m’ignora totalement et repartit, j’avais son reste de cigare à la main que je lui jetais sur l’épaule en lui disant « Et bien monsieur mettez-vous ça dans le cul et vous verrez que certaines choses dérangent âprement ». Il s’arrêta net et me répliqua par-dessus son épaule dans un parfait français « Si c’est avec vos doigts, j’accepterais n’importe quoi dans mon cul ! » Abasourdie et les pieds gelés je repartis en courant au bain. Je m’y trempais rapidement et enfilais encore mouillée le kimono rose......
Une odeur de cigare
.....Elle était nue et sa toison noire encadrait largement son sexe. Elle venait d’y faire couler du savon. Il la savonnait pour obtenir le plus de mousse possible. Une fois le savon devenu bien blanc, elle se frottait à lui comme si elle le lavait de cette manière. Je ne voyais pas beaucoup l’homme qui était de dos mais il était musclé et ce que je voyais était harmonieux. Il y avait des tapis de sport au sol. La femme rinça et allongea l’homme pour le savonner. Elle se coucha ensuite sur lui en le frottant de toutes les parties de son corps accessibles. Maintenant c’est l’homme qui gémissait. Il se laissait faire, il semblait apprécier cette manière de faire. Elle venait de le rincer rapidement et elle lui versait des bassines du bain chaud sur toute sa peau. Elle l’allongea sur le ventre pour le masser. Le massage n’oublia rien de l’homme. Je pus l’admirer comme je le voulais. Elle massait à présent les fesses de son amant en écartant leur lobe et en passant la main bien droite au milieu en appuyant bien sur le cul, puis elle prenait son petit poing pour le poser sur le cul de son mari après avoir écarté ses fesses. Elle appuyait doucement en tournant, lui ondulait et semblait être attisé par ce qu’elle lui faisait. Elle s’enduit peu à peu les mains d’une crème et ses caresses devinrent encore plus poussées, elle l’avait retourné et étiré ses boules dans tous les sens. Le sexe de l’homme était terriblement turgescent émergeant d’une touffe de poils hérissée, rien à voir avec la queue de Shintaro......
