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Un lieu inconnu (suite)


rivage polynésie

Ta queue est alanguie, elle était sous ta main, elle a à peine bougé lorsque j’ai retiré le drap. Je suis saisie, bien que n’étant pas en pleine lumière, elle me parait si tendre et si douce. Ton pubis est presque entièrement lisse, je me penche et je vois un peu tes boules. Elles sont lisses elles aussi. Je me dis que te humer ne fera de mal à personne, tu dors si bien que tu ne le sauras pas. J’avance mon nez vers ton cou, puis tes épaules, ton odeur, c’est presque indécent de la retrouver. Je pose le nez contre ton aisselle, j’imagine ta mine si tu me voyais faire cela, mais c’est exquis comme odeur. Je passe à ton ventre avec précaution pour ne pas te toucher, puis tes cuisses. J’hésite à avancer mon nez contre ton pubis, puis je le fais. J’hume avec ravissement cette odeur qui t’es propre, je m’en emplis les narines et le cerveau. Je sens ton sexe, puis tes boules plus difficiles à atteindre. Je me penche encore pour mieux les sentir. Une mèche de mes cheveux tombe sur ton pubis, tu frémis. Je ne bouge plus. Tu écartes un peu les cuisses dans ton geste et tes bourses s’offrent à moi. Tes couilles volumineuses sont en face de moi, sous mon nez sous mes yeux. Bien que je ne les voie pas tout à fait, elles me renvoient leur parfum entêtant, attirant. Mon cerveau est en ébullition. Je ne sais plus que faire. Je suis à quatre pattes sur le lit au-dessus de toi les cuisses serrées me rappellent que ma chatte est toute huilée et douce. Tout doucement elle se met à gonfler, ses lèvres s’arrondissent, sont parcourues de petits courants électriques. Si tu te réveillais maintenant, quelle image je t’offrirais, mes fesses découvertes et de côté, mes seins apparents sous la nuisette. Pourtant, je ne bouge pas, je continue à apprécier ce délicat effluve et à regarder. Tes boules offertes m’empêchent d’aller me coucher. Je me dis que si je pointe juste ta langue sur elles tu n’en sentiras rien.

J’ai encore une minute d’hésitation mais tu n’as plus bougé. Je dépose un baiser très tendre sur tes couilles, puis ma langue tendue les effleure, à peine, puis les lape, je ne peux retenir l’envie de les lécher. Je les lape avec une langue dure en les soulevant à peine. Elles se rétractent imperceptiblement. Je dépose alors plus langoureusement ma langue pour les lécher. L’une, puis l’autre, elles sont si bonnes. Je continue en oubliant presque que tu dors. C’est bon de lécher tes boules. J’en suis totalement excitée. Plus hardie encore, j’aspire avec douceur l’une d’elles, je la fais rouler sur ma langue, puis l’autre puis, les deux. Je sens ton sexe qui se relève contre ma joue. Ta queue se tend, je ne sais si tu es réveillé ou pas et je reste immobile. Ma chatte est humide à présent, j’ai envie d’y poser un doigt pour en doser l’humidité mais après avoir eu cette pensée, je me rends compte que c’est inutile, je la sens couler légèrement, mon fluide glissant sur ma cuisse. Ton gland que je vois tout près de moi est à cueillir de mes lèvres. Je n’en peux plus, tant pis si tu te réveilles et que tu es fâché. Je le goûte pour l’aspirer entre mes lèvres. Quelle sensation intense. Je goutte ton liquide, il est si bon. Ta queue se fait plus dure, ton gland plus gonflé, je l’entoure de ma langue, je le goûte et le regoûte. Soudain ta main vient légèrement se poser sur ma nuque, j’entends ton soupir. Je t’entends dire « oui lèche ma queue, j’aime tant la langue. » Bien sûr que je la lèche ta queue, je la prends toute entière alors qu’elle se raidit pour la gouter sur toute sa longueur. A nouveau ton fluide émerge et je bois ces quelques gouttes. Tu me dis encore, « j’ai aimé que tu me lèches les couilles. » Je sens tes deux mains encadrer mes fesses et me déplacer vers toi. Tu as mes fesses au-dessus de ton visage. Tu t’assieds et tu plantes une langue avide et dure dans ma chatte. Ta langue me prend comme une vague, je ne m’y attendais pas. Tu me lèches avec ardeur comme assoiffé, tu plantes sans cesse ta langue au fond de mon sexe en la faisant glisser du clitoris à mes lèvres et tu reviens, tu me pénètres de ta langue comme si c’était ta queue bien dure. Tu aspires mon jus qui gicle rapidement, j’en reçois même sur mes lèvres. J’ai ta queue entre mes mains et je la caresse tout aussi rapidement que tes baisers. Puis tu t’arrêtes. Tu me retournes pour me poser face à toi à genoux. Tu poses tes lèvres sur les miennes et là nos fluides et nos langues se mélangent. Je sens ta queue presser mon ventre, tu as les mains sur mes fesses et tu me colles à toi. Nos désirs sont évidents, le tien, le mien. Tu renverses ma tête pour t’abreuver à mes seins alors que ta main, glisse entre mes cuisses pour faire rouler de la paume mon clitoris. Cette caresse inattendue me fait gicler à nouveau, j’ai envie de ta queue contre ma chatte. Tu continues tes caresses alors que les pointes de mes seins durcies par tes baisers me font presque mal. J’ai encore envie que tu les aspires et je te le demande. Tu le fais en pressant plus encore ta main contre ma chatte. Je te demande d’y glisser la main et tu refuses. Tu me mets à quatre pattes et tu replonges ta langue dans mon humidité. Tu es doux, tu cherches chaque onde de mon plaisir, je sens que tu aimes ce contact de mes lèvres toutes douces offertes à toi à ta vue. Tu viens d’ailleurs d’allumer la lampe de chevet et tu me regardes. Tu reposes doucement ta langue sur ma chatte et tu remontes peu à peu vers mon cul. Je sens ta langue vorace, gourmande qui me suce et qui tourne sur mon cul, elle l’humidifie doucement, puis elle insiste et veut le pénétrer. J’ai envie de reprendre ton gland entre mes lèvres. Lui aussi il est brûlant tout comme ma chatte que tu fais gonfler. Je veux me relever mais tu m’en empêches. Je suis face à tes boules que je savoure avec de nouveau délices. Un de tes doigts pénètre ma chatte, puis deux. Mon cul tu le lèches si bien, je n’ai pas envie que cela s’arrête. Je vais jouir. Je te le dis. Doucement mais fermement tu me relèves. Nous sommes assis l’un en face de l’autre. D’une main je frôle tes épaules, ton thorax. Je me penche et j’y pose les lèvres. Je redescends vers ton pubis en délicats baisers. Puis, je passe dans ton dos, je couvre tes épaules de doux et légers baisers en caressant ta queue, puis tes boules. Je t’allonge, je passe ma main le long te ton dos en t’effleurant, je te hume comme tout à l’heure. Je regarde tes fesses. J’en ai envie. J’ai envie de ton cul aussi. Me laisseras tu faire ? Je me retourne et je pose ma chatte toute trempée sur ton dos j’écarte les cuisses pour t’enjamber et je mets ma tête au-dessus de ton cul que je masse délicatement. Je pose mes lèvres sur ton cul pour l’embrasser, j’adore. Puis, ma langue vient le darder, je le lèche aussi profond que je peux. Je le lèche et je le pénètre de ma langue, j’en veux encore plus. Je glisse ma main sur ta queue toute courbée et dure. J’allonge encore ma langue en toi et je sens ta queue qui ne tiens plus d’ailleurs,

Tu me colles à toi en te retournant. Tout en m’embrassant, tu glisses un doigt dans mon cul, doucement d’abord, puis je sens que tu l’assouplis, que tu l’ouvres pour toi. Je colle ma chatte à ta cuisse tellement je trouve cela bon. Tu as ta bitte contre mon ventre, et tu viens la faire glisser le long de mon sexe. Moi aussi, je pose comme je peux un doigt sur ton cul. Je l’humidifie, et je cherche ton regard pour savoir si je peux aller plus loin. Tu me dis vas-y, glisse ton doigt dans mon cul, cela m’excite encore plus. Je le fais tout doucement, délicatement. Tu ne bouges plus. Nous apprécions ce moment. C’est bon de le faire. Je suis en nage, je n’ai jamais été aussi excitée, tout mon corps vibre de ma nuque à mon cul. J’enfonce un peu plus mon doigt, pour te sentir. Tu te resserres autour de lui. Tu humidifies toi-même le chemin, et pousse mon doigt plus loin. Tu me guides par tes mots. On y va doucement, c’est si puissant. Je décolle de plaisir, tu le sens aussi et tu me dis que tu vas jouir. Tu retires mon doigt, et face à moi tu fais entrer toute la longueur de ta queue courbée et démesurément gonflée dans ma chatte. Tu me soulèves à chaque lent va et vient. Comme si tu voulais me décrocher du lit. Tu sens que je suis en train de partir et que c’est fort. Tu ne me connais pas comme cela. Je vois ton regard surpris de me voir jouir si ardemment et animalement. Ta queue ressent tous mes spasmes elle en est complètement enserrée, comme ton gland que je sens toujours plus dur, toujours plus gros. Tu sens aussi que je me détends et à mon oreille tu me glisse que tu veux venir fourrer ta queue au fond de mon cul. Tu restes face à moi et tu poses ton pouce sur mon cul, puis tu poses ton gland. On se regarde, puis .. tu pousses ta queue pour me pénétrer. Je m’en mords les lèvres tellement j’aime. Je regarde toute ta queue qui entre en moi. Tes assauts sont puissants. J’en veux encore et encore. Je veux que tu me prennes toute entière je veux toute ta queue en moi je veux que tu m’ouvres pour toi. Je t’entends me dire que tu vas exploser dans mon cul alors que je suis prise d’un spasme intense de plaisir. Tu jouis en moi puissamment ta queue totalement en moi. Nous n’en finissons plus de jouir et de voir nos corps unis. Tu restes en moi. Nos mains se croisent, je finis par m’endormir. Je n’ai plus connaissance du chaud et du froid. Ma conscience a dépassé les limites connues, j’ai tant aimé cette extase partagée.



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