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L'arrivée au train .... suite du chapitre 3



Je t’assieds sur un petit banc, finement alors que je prends place face à toi je fais couler l’eau, ta peau est juste remplie de gouttelettes. Tu mets le jet plus fort alors que je commence à te savonner. Lorsque tu poses la douchette, je commence par tes épaules et ton dos, je te masse presque, puis ton torse et ton ventre. Tu commences à être couvert de savon. Je continue par tes cuisses je les savonne en y collant mes seins bien ronds. Je reprends un peu de gel au miel et je pose ma main sur tes boules. Tu fermes les yeux, elles sont terriblement lisses, ma chatte en est toute électrisée, ma main les entoure avec souplesse, elle les étire. Je prends un plaisir fou à savonner tes couilles, à ne les avoir rien que pour moi. Mon autre main savonne ton sexe qui s’est durci d’un coup. Je passe de ton sexe à ton pubis lisse. J’imagine ton pubis et le mien réunis, ton sexe profondément enfoncé dans le mien, et ma chatte qui se frotte à toute cette douceur en même temps que mon ventre. Je te rince un peu et je passe de tes boules à ton cul. Je reste délicate je l’effleure alors que ton sexe est si dur, ton cul me cède, je le sens se détendre à ma caresse. J’en fais le tour en appuyant légèrement et je sens ton bassin onduler comme si tu voulais que j’y pénètre, j’y pose un deuxième doigt. Tu attrapes avec force mon poignet qui tient ton sexe, nos regards se croisent. J’appuie un peu plus, je vois que tu ne retiens plus ton plaisir. J’ai envie de te lécher, je désire sucer tes boules, j’ai envie de mettre ma langue dans ton cul. Je me penche vers toi, mais tu me repousse gentiment. Tu te rinces rapidement, et tu me désignes la douche voisine. Je me savonne et me douche devant toi. Je suis un peu vexée, je laisse mes cuisses serrées. Tu poses mes mains sur mes seins pour glisser sur le savon, brutalement, tu me pinces les tétons, puis tu les embrasse. J’ai du mal à te saisir, il est temps que nous allions essayer le bain chaud. Tu es bien moins courageux que moi. J’y suis depuis presque cinq minutes et j’en apprécie les bienfaits alors que tu n’as réussi qu’à y plonger tes fesses qui sont d’ailleurs rouge écarlate, puis en un instant, tu es totalement dans l’eau. Le clapotis nous berce et appelle son écho dans la petite pièce. C’est engourdis que nous remontons dans la petite pièce. Ton futon est prêt, le mien aussi. Tu t’excuses d’être fatigué mais je le suis aussi. Tu t’endors en un instant et à mon tour je me coule dans un sommeil profond.

C’est encore la sensation de soif qui me réveille. Je n’ai pas pensé à prendre de l’eau dans la chambre. Je sors à l’étage, il n’y en a pas non plus. Ce n’est pas comme la veille, il y a beaucoup plus de boissons proposées à la réception. Je me sers un thé brûlant que je bois à petites gorgées en regardant les flocons danser dans la nuit. J’ai soudain envie de prendre un bain. Je me glisse dans la salle de bains bleue que je bloque avec précautions. Je descends dans l’eau quelques minutes, c’est presque devenu un besoin essentiel ces bains. Une seconde respiration. Je n’ai pas emporté de serviette. J’enfile mon vêtement sur ma peau mouillée et je remonte dans la chambre. Je referme la cloison, il n’y a pas un bruit. A tâtons et à quatre pattes je cherche mon futon pour éviter de te marcher dessus. Soudain, je me retrouve plaquée au sol, en une seconde je suis jetée sur un futon, mes deux mains sont bloquées au-dessus de ma tête et une main m’empêche de respirer. La main sur mon visage se relâche très vite et je sens mon kimono relevé au-dessus de mes fesses, elles sont découvertes, offertes, je ne peux même pas bouger pour les recouvrir. Je ne comprends pas ce qui se passe. Mes cuisses sont écartées vivement et ma chatte est humidifiée abondamment. Sans autre préparatif, je me sens pénétrée par un sexe puissant, ce sexe se fourre en moi vivement presque brutalement, je ressens les à-coups au fond de ma chatte et sur mon entre cuisse où la garde de ce sexe vient buter. Je te reconnais, je reconnais ton odeur, mais surtout le sens ton gland au fond de ma chatte, tu enserres mes épaules pour me pénétrer plus profond encore. Tu sembles en colère, tes gestes deviennent plus violents. Je réussis à te glisser « Tu me fais mal tu me fais mal ! » Instantanément, ton corps s’apaise, tu me murmures « Pardon, pardon, je suis comme un fou depuis deux jours. Je t’ai imaginée nue ici avec tous ces hommes, j’avais envie de que ressentes ma queue, que tu n’aimes que ma queue. J’avais peur qu’une autre queue vienne s’enfoncer en toi. » Ta queue durcie par la violence de tes pensées, tu la glisse plus doucement en conservant tes à coups. Tu relèves mes cheveux au-dessus de ma nuque, tu y poses ton nez. Tu t’appuies un peu plus fort sur moi et ton sexe atteint un point particulier au fond de ma chatte, j’ai l’impression que tu es à la fois dans mon sexe et dans mon cul. Je jouis avec des spasmes répétés alors que tu glisses de plus en plus vite en moi. Tu ressors ta queue pour faire couler ta semence sur mes fesses, elle glisse, chaude entre les lobes de mon cul. D’un doigt, tu la dépose sur mon cul serré en y appuyant un peu. Nous sommes épuisés et nous nous endormons comme cela.

La nuit n’est pas finie, peu après, je sens un autre corps se glisser contre moi. Un instant j’imagine que c’est ma jolie russe. J’aurais bien aimé la toucher. Mais c’est un sexe masculin que je sens contre ma main. C’est le gros crayon de Shintaro. Shintaro bande contre ma cuisse, il a dû faire comme hier me suivre mais il n’a pas osé entrer. Je le repousse, je souhaite qu’il s’en aille. D’un geste expert, il s’est mis à sucer mes seins, je n’ose pas faire de bruit te sachant à mes côtés, je ne dis rien non plus lorsqu’une de ses mains saisit le lobe de mes fesses alors que deux de ses doigts attrapent mon clitoris pour le tirer. Je n’ai plus envie qu’il s’en aille, je me laisse totalement faire. Je sens qu’il est dans une excitation folle. Sa queue bien que petite est très dure. Il s’écarte de moi et je comprends en une seconde, il est en train de passer un préservatif. J’hésite, dois-je le laisser faire, mais ce garçon est décidément impérieux en dépit de sa jeunesse. Il me plaque sur le futon, et entre en moi d’un coup vigoureux, je trouve sa queue délicieuse, j’en suis étonnée, je ne veux plus qu’il s’arrête. Je jouis en quelques minutes, cela lui plait, j’entends comme hier soir son cri de jouissance étouffé, à mon oreille.

Je reste silencieuse, tu n’as pas l’air d’être réveillé. Sans attendre je mets Shintaro dehors. Je bloque la porte pour que nous ne soyons plus dérangés. Je vais laver mon sexe avec l’eau de ma gourde. Je me colle à toi et je cherche le sommeil car demain nous partons tôt randonner vers le Mont Fuji.

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