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Le bassin dans la nuit .. suite du chapitre 2



Difficile de trouver le sommeil. J’étais si apaisée en début de soirée. Et j’avais très soif. Je comprends bien mieux l’insistance de l’hôtesse à me dire que s’il n’y avait plus d’eau à l’étage j’en trouverais de la fraîche et de la chaude dans le hall d’entrée. Il était déjà deux heures du matin et j’étais déshydratée je ne pouvais pas passer la nuit comme cela. Arrivée en bas je me trouvais nez à nez avec le groupe de jeunes hommes que j’avais croisé plus tôt dans la soirée au bain public. Ils étaient figés, surpris de me voir là. En anglais-je leur expliquais que j’étais venue chercher un peu d’eau fraîche. Apparemment, il n’y en avait plus. Un petit à lunettes me proposa son soda que je refusais en riant. Rapidement, je me retrouvais dans ma chambre les laissant à leur surprise, j’entendais leurs rires et leurs pas en dessous de ma tête. Je sombrais dans une rêverie érotique et me réveillais au bout de quelques minutes en sueur, on frappait à ma porte. C’était le beau jeune homme de la palissade qui venait m’apporter de l’eau. Maladroitement il se présenta sous le nom de Shintaro. Il s’enfuit presque, je le comprends, j’étais à demi-nue et je devais avoir une mine à faire peur en pleine nuit. A peine la porte refermée, on refrappa. Shintaro avait il vaincu sa timidité ? Mais non, ce n’était pas ce que j’imaginais. J’eus à peine le temps de refermer mon kimono que l’homme au cigare me poussa vers l’intérieur. Il était accompagné de la jeune fille blonde. « Puisque tu parles si bien français, tu vas tenir compagnie à ma fille et lui faire la conversation ! » J’étais ébahie quel sans gêne. Il me prenait donc pour une esclave une femme à son service ? La jeune fille était entrée dans la seconde pièce et je fermais vivement la cloison. En chuchotant mais fermement je refusais, il était hors de question de faire ce genre de chose et surtout en pleine nuit. Et que s’il le souhaitait je devrais lui dire mon prix sinon il pouvait aller se faire voir ailleurs. Son regard était celui d’un homme à qui l’on ne refuse rien, mais je n’étais pas une seconde intimidée. J’ajoutais en fixant ses yeux clairs : « Vous connaissez mon prix », étonné, il sourit, « Je suis d’accord avec votre prix, il me convient parfaitement ! » Il disparut au fond du couloir.

Restée seule avec la jeune fille, je réfléchissais et vu le dérangement, le prix allait être bien plus fort qu’il ne l’imaginait. Elle était assise, sur la table, plutôt jolie et pas si jeune que je l’imaginais. Peut-être vingt-six ans, ou à peine moins. La vision de Shintaro m’avait troublée et ce trouble se reportait sur cette jeune femme. En quelques instants elle m’apprit qu’elle parlait déjà bien français puisque son père l’avait placée régulièrement dans des institutions religieuses en Suisse. Elle me raconta également que ses parents adoptifs refusaient de la laisser partir seule en vacances avec des amies. Elle était vraiment jolie. Son yukata entrouvert laissait voir une poitrine menue que j’eus irrésistiblement envie de sucer. Je ne la voyais pas entièrement mais j’en imaginais les pointes qui durciraient sous ma langue. Je ne l’avais jamais fait, mais pourquoi pas cette nuit ? A genoux je m’approchais d’elle. J’étais si près que je me trouvais entre ses cuisses. La prenant par la taille, je la rapprochais de moi, elle ne résistait pas curieuse peut être elle aussi de cette situation. Je passais la langue sur ses lèvres et elle me tendit la sienne. Je fus happée par son baiser sa langue pénétra ma bouche avec une force inattendue, dure et vive j’avais l’impression qu’elle me déshabillait. Reculant, j’écartais ses cuisses et je remontais son vêtement. Elle aussi était nue sous la toile de coton. Je me levais allumer une lumière, elle resta dans cette position. Je me rassis et je défis le nœud de son vêtement, nue, les cuisses écartées, elle ne bougeait pas. Je soulevais le tissu qui avait glissé entre ses cuisses et je vis une toison blonde et légère. D’un doigt je la caressais et je la trouvais terriblement douce. Elle me laissait faire. J’avançais ses fesses au bord de la table, délicatement mes lèvres se posèrent sur son pubis, ma langue tendue commença à descendre le long de sa fente. Elle écarta les jambes plus encore. C’était délicieux ma langue devint soudain impatiente, je me lis à la lécher, je me mis à lécher sa jolie chatte ouverte et toute offerte à mon regard. Ma langue s’emparait de son sexe petit à petit, le sentant gonfler, j’y plongeais la langue avec lenteur, en avançant de plus en plus profond. J’en étais trempée ma chatte palpitait. Je la léchais plus fort je me rendais compte que j’en avais une terrible envie et que je trouvais cela bon. Laissant sa chatte je l’embrassais, un baiser profond et appuyé qu’elle me rendait avec passion. Ses seins se soulevaient sous ses soupirs. Je les pris dans ma bouche l’un après l’autre en faisant rouler le minuscule téton sous mes lèvres. Elle s’empara de ma main pour la mettre sur son minou tout trempé et ouvert pour moi j’y glissais avec timidité un doigt tendre qui s’enfonça avec délice. Elle retira ma main pour me montrer qu’elle voulait deux doigts et non un. D’autorité, elle tenait ma main avec laquelle elle faisait de profonds va et viens. Nous nous regardions sans nous parler. Elle se leva soudain pour me basculer sur le tatami. J’étais à genoux et elle me mit sur le dos, défit à son tour le lien autour de ma taille pour me retirer ce que je portais. Elle me scrutait seulement. Chaque parcelle découverte y passait. Elle m’ouvrit les cuisses pour regarder ma chatte sur laquelle elle plongea avec une avidité non contenue. Elle me buvait, elle me dévorait de sa longue langue. Elle m’aspirait totalement les lèvres et le clitoris. Jamais un homme n’avait osé me faire cela. Elle semblait vouloir me posséder et paraissait bien plus experte que moi. Elle m’enjamba pour me présenter sa chatte. Totalement excitée, je me jetais également dessus. Je voulais jouir avec cette fille, je voulais la sucer et me faire lécher. Je passais au-dessus d’elle pour l’embrasser et je collais ma chatte à la sienne pour la frotter. Je découvrais des sensations inconnues. J’allais de petit orgasme en petit orgasme. J’adorais sa chatte. Nos jambes emmêlées nous haletions de plaisir lorsque je la vis jouir en tremblant. Je me précipitais sur ses cuisses ouvertes pour la boire et lécher tous ses jus.

Nous n’avions pas entendu la cloison glisser. Nous n’étions plus seules. Shintaro était revenu et il nous étudiait. Il se branlait sans complexe à nous observer comme si nous l’avions invité. Je voyais sa touffe de poils noirs et drus de laquelle émergeait son sexe. Il me fit tout de suite penser à un gros crayon qui ne ferait pas bien mal. Ses boules étaient épilées, tout le reste de son corps était totalement imberbe. Il était bien mince, musclé et sec comme je l’avais remarqué plus tôt. Presque maigre, il semblait fragile. Pourtant il se branlait avec assurance à nos côtés. La jeune fille le regardait aussi. Elle était toujours allongée les cuisses ouvertes. Je pris une des mains de Shintaro pour le rapprocher de nous. Plongeant le doigt dans la jolie chatte gonflée et ouverte pour moi j’en sortis du suc de la demoiselle pour le porter aux lèvres de Shintaro et le lui faire sucer. Je vis son regard devenir plus torride, et sa main caresser plus ardemment sa verge déjà bien dure. Il fit un geste pour me toucher le sein, mais je reculais. Je portais à nouveau la main vers la demoiselle et je refis le même geste. Je recommençais plusieurs fois, puis je pris des sucs de mon amante entre mes lèvres pour les porter aux lèvres de Shintaro. Il m’attrapa par la taille pour me coller à lui. Je sentis son irrépressible désir de me pénétrer. Doucement, je le repoussais et de l’autre main je pris celle de la jeune fille pour la relever et la mettre à genoux avec nous. Je me retrouvais au milieu d’eux deux. Sans se consulter, il se collèrent de part et d’autre de moi. La jolie russe collée à mes fesses et Shintaro sa verge érigée contre mon ventre. Il nous prit toutes les deux dans ses bras en nous entourant. Il frottait son sexe contre mon ventre et je sentais les seins de la Belle rouler derrière moi, elle avait déjà fourré la main dans ma chatte, elle y enfonçait les doigts dans le même mouvement que Shintaro. Ils accélérèrent le rythme et j’étais totalement à leur merci. Des ondes de plaisir venaient de mon ventre, je sentais la main trempée de la Belle aller chercher ma jouissance malgré moi, elle me mordait le cou et elle avait ramassé mes cheveux en chignon qu’elle tirait. Ce geste-là qui me soumettait à elle finit de me libérait. Je jouis entre eux deux sans retenue, j’eu le temps de sentir le jet de la queue de Shintaro m’inonder le ventre alors qu’il jouissait avec un cri fou à mon oreille.

J’étais soudain épuisée. Elle m’allongea près d’elle alors qu’il nous donnait la main à toutes les deux. Je m’endormis presque tout de suite en songeant que demains je devais aller te chercher à la gare. J’aurai du mal à t’expliquer tout cela.


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